Présent à l’état latent chez un quart de la population mondiale, le parasite Toxoplasma gondii se terre au sein des cellules infectées pour mieux se faire oublier de son hôte. Afin de l’en dénicher, une équipe montpelliéraine du LPHI cherche son point faible. Cet article est publié dans le blog Focus Sciences de CNRS le journal dans le cadre du projet ANR Sciences avec et pour la société.